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Siobhàn Elvina Reynolds

   
   

HISTOIRE PLUS INFORMATIONS

   

Carte d'Identité

   ❯ NOM : Reynolds.
   ❯ PRÉNOM : Siobhàn Elvina.
   ❯ DATE DE NAISSANCE : 15 août.
   ❯ AGE : 21 ans.
   ❯ LIEU DE NAISSANCE : Long Beach, Californie.
   ❯ MÉTIER : Étudiante en droit international.
   ❯ ÉTAT CIVIL : Célibataire.
   ❯ ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle.
   

   

Particularités

   ❯ RACE : humaine.
   ❯ CAMP : neutre.
   ❯ BRIGADE : Aucune.
   ❯ AVATAR : Nina Dobrev.
   ❯ GROUPE : Souls.
   

   

Informations complémentaires

   

❯ Mon caractère La première qualité que l’on peut repérer chez moi est que je suis extravertie. J’ai pas de mal à aller vers les autres. Je rigole souvent pour rien et je respire la joie de vivre. On dit de moi que je suis ambitieuse et déterminée. Je finis toujours par obtenir ce que je veux, par n’importe quel moyen. Je suis toujours là pour mes amis parce que l’amitié est une de mes valeurs. Je donne souvent de bons conseils. Cependant, pour faire partit de mon cercle d’amis, il ne pas se fier à mes airs de peste.  Je ne suis pas genre de fille qui accepte les gens facilement. J’aime me comporter comme une fille prétentieuse, arrogante, superficielle et capricieuse. Au moins, je fais un tri entre les  gens qui veulent vraiment me connaître et ceux qui ne le veulent pas. Je suis fêtarde et assez irresponsable en soirée. Comme toutes les filles de mon âge, j’aime plaire. Je ne suis pas le genre à m’attacher à un garçon parce que je n’ai pas envie de souffrir pour une relation amoureuse qui va forcément mal se terminer. Je n’ai jamais cru en l’amour. Lorsque je n’aime pas quelqu’un, je lui fais savoir. Je ne supporte pas la trahison et je suis adepte de la citation : la vengeance est un plat qui se mange froid. Une dernière chose à savoir, je suis franche. Parfois. Et je manque énormément de tact. Lorsque je pense quelque chose, je le dis sans penser aux conséquences que cela peut avoir. Je suis également une grande peureuse, même si j'adore regarder des film d'horreurs. Je suis sensible et fragile mais rares sont les fois où je le montre. Je déteste la faiblesse.

❯ Parlons de la situation Il faudra bien se l’avouer, je ne suis qu’une simple humaine. Je n’ai jamais entendu des brigades. Certains évènements de ma vie m’ont fait comprendre que des créatures surnaturelles existaient mais j’évite de penser à ce genre de chose. J’ai les pieds sur Terre, je ne veux pas avoir affaire à ce monde-là. Je suis beaucoup trop peureuse pour ça. Et puis, même… Vous me voyez franchement prendre part à un combat dont je ne comprends pas les règles ? Absolument pas. Surtout que je suis beaucoup trop fragile pour ce genre de chose. En ce qui concerne les épreuves, je n’en ai jamais entendu parler. Comme je vous l’ai dit, je suis trop éloignée de ce monde pour comprendre ce qu’il se passe. Je ne cherche pas à m’y intéressée non plus. J’ai déjà assez de problèmes pour m’occuper de choses surnaturelles qui concernent soi-disant la planète toute entière. Moins je pense à ce genre de chose, mieux je me porte. Il faut se faire une raison : on a pas tous une âme de chasseur.

   

Derrière l'écran

   

Salut, moi c'est .QUEEN A, j'ai 21 ans et je viens de France. J'ai découvert le forum grâce au projet posté sur Bazzart *-* et je le trouve awesome ! Et surtout, n'oubliez pas: j'ai hâte de rp sur le forum, puis merci de m'avoir gentiment réserver mon avatar ♥
   

   

My bittersweet symphony

   

❯ 15 août. Long Beach, l’une des plus belles villes de Californie. Je suis la première et la dernière enfant de la famille Reynolds. Déjà pas chiante à l’époque, je suis née très tôt le matin, sur le coup des trois heures du matin. Mes parents ont toujours été aimants. J’ai vécu dans un monde assez aisé : mon père dirigeait une grande chaîne hôtelière de luxe, tandis que ma mère était avocate. On avait une villa avec une plage privée. Scolarisée dans une école privée, j’ai toujours côtoyé des gens de ma classe sociale. Mes parents m m’offraient ce que je voulais. J’étais la petite princesse de la famille. Tout tournait autour de moi. J’avais une vie de rêve. Le genre de vie qu’on ne voit que dans les séries américaines. Seulement, j’ai appris très tôt que la vie n’allait pas me faire de cadeaux. Ma mère est morte dans un accident de voiture lorsque j’avais cinq ans. Mon père a été là pour moi. Il ne voulait pas que sa mort m’affecte alors  il était deux fois plus présent. Moi j’avais mal, j’avais encore besoin de ma maman mais j’ai rapidement compris qu’elle ne reviendrait pas. Mon père a  carrément mis sa carrière entre parenthèse pour moi.

D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours détesté l’école. Je détestais rester assise toute une journée à écouter des adultes nous raconter des choses complètement inintéressante. Les mathématiques, je n’y comprenais rien. L’histoire, ça m’a toujours saoulée. Les langues vivantes, n’en parlons pas : je parlais déjà anglais, ça suffisait, non ? Néanmoins, j’essayais d’avoir de bonnes notes pour que mon père soit fier de moi. S’était lui et moi contre le monde. Cela ne dura qu’un temps, puisque mon père fit entrer une nouvelle femme dans notre vie. J’avais dix ans lorsqu’ils se sont mariés. Avec ma belle-mère, j’entretiens des rapports conflictuels. Elle veut remplacer ma mère mais je ne veux pas. J’évite de lui parler. Mais elle sait que je la déteste. Elle essaie de me faire des cadeaux mais rien n’y fait. Jamais elle ne pourra prendre la place de ma mère. Je continue de grandir sans vraiment repère féminin. Mon père essaie de faire en sorte d’apaiser les tensions entre ma belle-mère et moi, mais c’est impossible. Je ne fais aucun effort et il est clair que je n’en ferais pas.

Les années passent. Les années collège sont plus difficiles pour moi. Je suis une fille relativement populaire. Je plais aux garçons, je le sais et j’en joue parce que je trouve ça drôle. On me considère comme une superficielle qui enchaîne les garçons sans vraiment se rendre compte de sa réputation. Mon père essait de me recadrer mais il n’a pas eu le temps de faire quoi que ce soit. J’ai treize ans lorsqu’il meurt à cause d’une créature surnaturelle. C’est ma belle-mère qui m’a raconté ce qu’elle avait vu et je n’ai jamais voulu la croire. Pour moi, il était impossible que ce genre de choses existe. Encore aujourd’hui, je n’y crois pas vraiment. Enfin, j’ai des doutes. La mort de mon père, c’est un déclic. Je décide de devenir plus rebelle. J’ai à peine quatorze ans lorsque je vais pour la première fois en boite de nuit. Je fume pour me donner un genre. Je drague n’importe qui, je test un peu mes limites. Mes notes sont en chute libre, les professeurs ne peuvent pas comprendre ce que j’endure. C’est ma belle-mère qui a ma garde et je ne le supporte pas vraiment.

Je  finis par entrée au lycée. Je ne change pas tellement mon comportement. Pour moi, j’ai tout perdu et personne ne pourra m’empêcher de me comporter de la sorte. Je fais ce que je veux. Je ne mets aucune limite. Ma belle-mère essaie de me priver de sortie mais je fais le mur. Entre elle et moi, c’est de pire en pire. Elle pense qu’avoir ma garde c’est avoir du pouvoir sur moi mais elle n’a pas compris que c’est moi qui menais la cadence. C’est grâce à elle que je sais aussi bien mentir et manipuler mon monde. J’ai toujours joué sur les apparences avec elle : rien n’était de ma faute, j’arrivais toujours à la faire culpabiliser. Les soirées. Les garçons. Je me moque de mon avenir. J’obtiens à peine la moyenne mais je finis néanmoins par obtenir mon diplôme, contre toutes attentes. Mon projet d’avenir : faire du droit, c’est la licence qui veut bien de moi de toute façon. Je décide de m’envoler à New-York. Loin de Long Beach. Loin de ma Californie natale. J’ai besoin de prendre le large et de prendre mon envol.

L’université est difficile. Je loupe ma première année parce que je fais beaucoup trop la fête. Je rencontre d’ailleurs Tomàs lors d’une soirée. Je m’attache rapidement à lui. Première relation amoureuse. J’avais l’impression d’être réellement sur un nuage avec lui. Il se pliait en quatre pour moi. Il connaissait mon histoire et me rassurait quand j’avais peur. J’étais vraiment heureuse avec lui. Notre idylle dura six mois avant que je ne décide de rompre. J’avais entendu une rumeur comme quoi il m’avait trompé, je n’avais pas cherché plus loin que le bout de mon nez. Première déception amoureuse. J’ai repris mes anciennes habitudes. Ne pas s’attacher pour ne pas souffrir. A l’heure actuelle, je suis en troisième année de droit international. Je suis célibataire. Je ne sais pas si je dois croire aux créatures surnaturelles. D’un côté, je me dis que ça peut exister mais d’un autre ça me paraît trop énorme. Je n’ai plus eu de nouvelle de ma belle-mère depuis trois ans et je m’en porte plutôt bien. Je ne sais pas vraiment ce que je veux faire de ma vie. Après tout, mon père m’a légué un assez gros patrimoine…

   

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